MARIA VALTORTA

L'oeuvre de Maria Valtorta
20,000 preuves confirmées de l'exactitude de la vie de Jésus.

Quelle est la source d'inspiration de l'Évangile tel qu'il m'a été révélé? 

1,000 Raisons de Croire

✔  Maria Valtorta a eu plus de 600 visions en l'espace de 4 ans de 1944 à 1947 couvrant 900 pages manuscrites sur la vie de Jésus.

✔  Avant et pendant cette période elle reçoit de nombreux enseignements spirituels qui tiennent sur 4,000 autres pages.

✔  À la demande de Jésus elle décrit avec précision : les lieux, les personnes, les événements, les enseignements, les miracles, les intrigues, et transcrit les dialogues dont elle est témoin. 
     
Ainsi elle dépeint avec minutie : les scènes, les ponts, les aqueducs, les bornes militaires, les  voies romaines, les crêtes de montagnes, les cours d'eau, le plan des villes et des villages, l'architechture, les US et coutumes, la faune, la flore, les conditions météorologiques, plus de 200 observations astronomiques, les parfums...etc. Elle nomme et géo-calise plus de 400 villages. Elle décrit des centaines de personnes en donnant leurs noms, leurs origines, leurs liens de parentés, leurs fonctions, leurs physionomies, leurs tempéraments et retranscrit mot à mot , leurs dialogues. 

Qui est Maria Valtorta?


Maria Valtorta est une mystique chrétienne ayant bénéficié de 1943 à 1947 (et dans une moindre mesure jusqu'en 1953) de visions des scènes de l'Évangile réunies dans une œuvre monumentale : "l'Évangile tel qu'il m'a été révélé" (parue sous le titre de Il Poema del Uomo-Dio).

Cette œuvre de grande diffusion[1] a été mise un temps à l'Index des livres prohibés par le Saint Office (1960), mais a aussi bénéficié de soutiens éminents au sein même de la hiérarchie catholique, dont celui de deux Papes. La polémique intervient à l'époque conciliaire au sein même de la Curie romaine. Elle a sans doute contribué ainsi à définir la position de l'Église catholique sur les révélations privées qui abondent particulièrement à cette époque.


La vie de Maria Valtorta


Née à Caserta, au nord de Naples, le 14 mars 1897, Maria Valtorta est décédée à Viareggio, sur la côte toscane le 12 octobre 1961, à l'âge de 64 ans.
C'est la fille unique de Giuseppe, un sous-officier de cavalerie, pour qui elle avait une grande et profonde affection et d'une enseignante de français, Iside Fioravanzi, une femme très autoritaire et acariâtre qui exigeait l'exclusivité de l'attention de sa fille. Ne supportant aucun soupirant de sa fille. Elle cassa, par deux fois, ses fiançailles.

Maria Valtorta se déplace en divers endroits d'Italie, au gré de l'affectation du régiment de son père. Le 17 mars 1920, tandis qu'elle chemine en compagnie de sa mère à Florence, elle est agressée par "un petit délinquant, fils d'un communiste et de notre modiste. Avec une barre de fer extraite du montant d'un lit, il arriva par derrière et cria : "À bas les riches et les militaires !" tout en m'assénant, de toute ses forces, un coup terrible»[3]. Après trois mois d'immobilisation, elle part, pendant deux ans, en convalescence dans sa famille maternelle à Reggio de Calabre.

En 1924, la famille s'établit définitivement à Viareggio, en Toscane où Maria Valtorta s'engage dans l'Action catholique. En 1925, elle s'offre à l'Amour miséricordieux et le 1er juillet 1931, s'offre au Seigneur comme victime expiatoire pour les péchés des hommes. Sa santé se détériore progressivement. À partir du 1er avril 1934, jour de Pâques, elle demeure définitivement clouée au lit. Elle y restera 27 ans. C'est là que Maria Valtorta remplit 122 cahiers, soit près de 15.000 pages manuscrites, avec la description des visions et révélations qu'elle reçoit du Seigneur à partir de 1943 jusqu'en 1947, mais en mesure moindre jusqu'en 1953.

Tout en gardant son lit et malgré ses grandes souffrances, elle écrivait de sa propre main et d'un seul jet, à n'importe quelle heure du jour ou de la nuit, sans se sentir nullement dérangée par des interruptions occasionnelles, gardant toujours son aspect naturel. Les seuls livres qu'elle pouvait consulter étaient "la Bible et le Catéchisme de Pie X".  Durant cette période, elle est accompagnée par le Père Romualdo Migliorini, un Servite de Marie (o.s.m.) qui se fera le promoteur zélé, voire excessif, de l’œuvre.

Les dernières années de sa vie sont douloureuses : à partir de 1956, Maria Valtorta se renferme dans une sorte d'isolement psychique après avoir tout offert à Dieu, jusqu'à sa propre intelligence. Emilio Pisani, son chroniqueur, interprète cette dernière immolation comme une réponse aux oppositions que son œuvre commence à rencontrer. Comme toutes ses maladies, une dizaine, cette prostration demeure inexplicable par de nombreux aspects. Elle fut interprétée comme signe de folie par les opposants, mais des avis scientifiques plus fondés, prouvent qu’il n’en est rien.

Elle s'éteint le 12 octobre 1961 à 10h35. Vingt mois auparavant, elle avait vu, l'œuvre mise à l'Index. Selon les directives de Jésus, sa publication devait être posthume. En guise de testament spirituel, Maria Valtorta laisse comme souvenir, la phrase suivante: "J'ai fini de souffrir, mais je continuerai à aimer".

Le 2 juillet 1973, sa dépouille a été transférée de Viareggio à Florence dans une chapelle de la Santissima Annunziata. Sa tombe, dans une des chapelles, mentionne ses titres de Gloire : Tertii ordinis servorum Sanctae Maria sodalis (Tertiaire de l’ordre des servites de Marie) – Hostia Deo grata (Hostie agrée par Dieu) – Divinarum rerum scriptrix (Écrivaine de choses divines, ou historienne de Dieu. Une première tentative d’introduire sa cause de béatification, soutenue par les Servites de Marie de Florence, n'a pas aboutie. L'archevêque de Toscane, après consultation des évêques a jugé qu'elle n'était pas opportune "du moins pour l'instant" (almeno per il momento).

Le 15 octobre 2011, la messe du cinquantième anniversaire de sa mort, a été présidée à Florence par un ancien nonce apostolique, Mgr Pier Giacomo De Nicolò, archevêque titulaire de Martana. L’année suivante, pour la dernière année de son pontificat, le Pape Benoît XVI béatifiait coup sur coup deux fervents promoteurs des œuvres de Maria Valtorta : Mère Maria Arias Espinosa, (1904 –1981), fondatrice des Missionnaires clarisses du Très saint Sacrement, puis le Père Gabriele Allegra (1907-1976), traducteur de la Bible en chinois.

En 2019, sur l’initiative de la Fondazione erede di Maria Valtorta, Me Carlo Fusco, avocat de la Rote et postulateur pour la cause des saints, a reçu le mandat d’agir devant les autorités ecclésiastiques compétentes pour recueillir des témoignages sur la vie de Maria Valtorta et, à cette occasion, les preuves de l’exercice héroïque de sa pratique des vertus chrétiennes.

Un prêtre du prestigieux Vicariat de Rome a commencé le recueil des témoignages en ce sens. Ce Vicariat est le diocèse même du Pape.

Son œuvre
En 1943, clouée au lit depuis 9 ans Maria Valtorta pense que sa fin est proche. Son confesseur, frappé par la grandeur d'âme de cette âme victimale, lui demande d'écrire sa vie. Elle s'exécute en moins de deux mois.
Au fil des pages, le dialogue avec Jésus se fait plus présent et plus intime. Brusquement le Jeudi-Saint, elle reçoit la vision de Jésus sur la Croix et le sens de sa mission : Elle peut attirer d’autres regards vers la croix "en acceptant de vivre, à cette fin, dans un désert aride, seule avec la croix". Elle accepte.

Elle commence alors à recevoir les scènes de l'Évangile. Elles sont écrites sans suite apparente, d'une seule traite, sans ratures mais parfaitement cohérentes entre elles.
L'ensemble de ses visions et dictées a été consigné dans 13 193 pages de cahiers d'écolier d'où est extraite son œuvre monumentale "L'Évangile tel qu'il m'a été révélé" : 10 volumes et 5.374 pages. Cette œuvre est close, le 28 avril 1947, par une dictée du Christ. Sa rédaction aura duré quatre ans, presque jour pour jour.

Visions et dictées se poursuivent cependant à un rythme moins soutenu jusqu'en 1953, puis cessent, du moins celles qui ont été consignées dans les autres écrits de Maria Valtorta.

Des biblistes éminents se sont étonnés des connaissances rares dont Maria Valtorta fait preuve. Le P. G.M. Roschini, fondateur de l'université pontificale "Marianum", n'a pas hésité à écrire que la mariologie qui se dégageait des œuvres de Maria Valtorta, surpassait la sienne. De son côté, Jean-François Lavère dans la suite des travaux de Jean Aulagnier, a recensé près de 20.000 données de l'œuvre dans les domaines les plus variés (archéologie, géographie, botanique, zoologie, astronomie, sociologie, etc.) 99,6% d'entre elles ont été validées à divers degrés. Le pourcentage restant, 0,4%, est dû à l'appréciation humaine de la narratrice. Il a publié récemment ses travaux qui sont en perpétuelle évolution.

Sa mission de porte-parole
Maria Valtorta précise ce qu'elle appelle son travail : "écrire sous la dictée ou décrire ce qui se présente à moi. S'il s'agit de dictée et qu'elle se rapporte à un passage de la Bible, Jésus commence par me faire ouvrir le Livre au passage qu'Il veut expliquer. Si c'est la vision qui se présente, comme je l'ai dit, avec une image initiale qui est généralement le point culminant de la vision, et puis se déroule en suivant l'ordre, je décris ce point, puis ce qui précède et ce qui suit".

Maria Valtorta évoque discrètement, dans certaines notes personnelles, les souffrances qu'elle endure. Mais Jésus, dans une dictée, est plus explicite et d'une portée plus générale :
"Si vous saviez quel esclavage c’est que d’être instrument de Dieu. Cela entraîne sommeil, faim, souffrances, fatigues, envie de penser à autre chose, de lire des écrits qui ne soient pas des paroles de source surnaturelle, de parler et d’entendre des choses ordinaires, l’envie d’être et de vivre comme tout le monde, ne serait-ce qu’un seul jour : tout cela, la brûlure inexorable de la volonté de Dieu les empêche de l’avoir et de le réaliser. Sur tout cela, la hargne des hommes dépose son sel et son acide, comme si le maître de la galère mettait du sel et du vinaigre sur les brûlures de ses esclaves".

Jésus décrit ainsi le sort, non seulement de Maria Valtorta, mais aussi de Marie d'Agréda ou d'Anne-Catherine Emmerich.

Maria Valtorta a dû lutter contre les tentations de Satan dont elle a triomphé.

Quelques uns des nombreux vidéos édifiants
que vous trouverez sur YouTube












    

         

Liens importants concernant Maria Valtorta 

MARIA VALTORTA , SA VIE SON OEUVRE
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