Centre Notre-Dame de La Salette de Chicoutimi

« Ma spiritualité se caractérise par une fidélité au Christ et à son Église,
                    fidélité à ce qu’il y a de plus profond en moi. »

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Historique du Centre

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Michel Marcotte est le fondateur premier du Centre Notre-Dame de la Salette de Chicoutimi 

À l’occasion d’une retraite personnelle, un désir communautaire Très fort, naît...

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Pèlerinage au sanctuaire Notre-Dame de la Salette dans les Alpes françaises

« Embrassez l’icône de Marie. Désormais, elle vous accompagnera avec son parfum. »

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Inauguration du Centre Notre-Dame de la Salette par l’évêque du diocèse.

Début des premières activités...

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Rencontre et mariage avec Gabrielle Lavallée le 7 août 2010

Michel Marcotte est le fondateur premier du Centre

Je me sens pasteur, responsable d’un troupeau confié par le Seigneur.
Elle se caractérise aussi par une souffrance profonde d’où je sens que l’Amour n’est pas aimé; l’Amour n’est pas reçu, l’Amour n’est pas compris. Je compatis profondément à la souffrance du pape Jean Paul II avec lequel je me sens profondément uni. « Enfin ma spiritualité se caractérise par une fidélité au Christ et à son Église, fidélité à ce qu’il y a de plus profond en moi. » 

Spiritualité du fondateur 💖
Ma spiritualité se caractérise par une vie intime avec la Trinité et la Sainte Vierge. Partout où je me trouve, je sens le Seigneur présent. Je me sens constamment en union avec Lui. Quand je suis dans la peine, je lui offre immédiatement et ma peine passe plus facilement. Quand j’écoute quelqu’un en peine, je le présente immédiatement à Marie en lui demandant de le présenter à son Fils pour que Lui le présente à son Père. De temps en temps, je passe directement au Père en l’appelant « Papa ». Elle se caractérise aussi par un désir profond de proclamer la Parole à temps et à contre-temps. Sans cesse montent en moi, du plus profond, ces paroles : « Proclame, Fils d’homme, exhorte, crie mon amour ». Quand je parle de l’Amour du Christ, c’est comme si tout mon être était envahi par l’Amour. Les larmes me viennent alors facilement aux yeux. Je me sens transformé, transfiguré. Je sens que tout mon extérieur se transforme, je sens que ma voix change et alors je sens que la Parole pénètre profondément dans les cœurs de ceux qui l’écoutent. Quand je parle de Lui, je parlerais des heures sans m’interrompre. Je suis hors du temps. J’ai l’impression d’être soulevé, attiré vers le haut, entre Dieu et l’humanité. Je me sens alors un instrument qui peut dire : « Ce n’est plus moi qui vis, mais c’est le Christ qui vit en moi ». Ma spiritualité se caractérise aussi par un désir profond de réconcilier l’homme avec le Père. Cela m’invite à être attentif aux personnes, Temple de l’Esprit Saint, qui souffrent. Je me sens pasteur, responsable d’un troupeau confié par le Seigneur. Elle se caractérise aussi par une souffrance profonde d’où je sens que l’Amour n’est pas aimé; l’Amour n’est pas reçu, l’Amour n’est pas compris. Je compatis profondément à la souffrance du pape Jean Paul II avec lequel je me sens profondément uni. Enfin ma spiritualité se caractérise par une fidélité au Christ et à son Église, fidélité à ce qu’il y a de plus profond en moi. »

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Juin 1979 : À l’occasion d’une retraite personnelle, un désir communautaire Très fort, naît.

Juillet 1979 : À l’intérieur d’une prière communautaire, réception d’une locution intérieure : « En passant par Grenoble, vous vous rendrez à la Salette et là je vous donnerai l’objectif de ma communauté. »

Septembre 1979 : Présentation à l’évêque du diocèse du projet d’un centre d’évangélisation dédié à Notre-Dame de la Salette. L’évêque du lieu invite à la prière et prend au sérieux l’appel.

15 juin 1984 : Rencontre avec le père Daniel Ange à Québec. Il nous donne cette parole : « Embrassez l’icône de Marie. Désormais, elle vous accompagnera avec son parfum. »

Novembre 1987 : Mon directeur spirituel me dit : « Tu dois partir pour la Salette le plus tôt possible pour vérifier ce que la Vierge t’a donné comme parole. »

5 au 11 juillet 1988 : Pèlerinage au sanctuaire Notre-Dame de la Salette dans les Alpes françaises. Rencontre avec le père Don Gobbi et M.Fernand Corteville, historien. Grâce spéciale : réconciliation d’un couple en même temps que j’obtenais une grâce dans la basilique. Ce couple du Québec, divorcée depuis 6 ans, se réconcilie. Découverte de la grâce de la Salette : RÉCONCILIATRICE DES PÊCHEURS.

Automne 1988 : Rencontre avec l’évêque du diocèse. Il nous invite à faire des pas dans la foi. Il nous invite à rencontrer différentes communautés religieuses pour demander des prières afin que le projet puisse se réaliser non pas à notre manière, mais à celle de Dieu.

Mai 1991 : Vente de la maison du fondateur. Invitation de la communauté des sœurs Augustines de la Miséricorde de visiter une petite maison leur appartenant. Le Conseil des Augustines accepte de prêter la maison pour un an.

1 novembre 1991 : Inauguration du Centre Notre-Dame de la Salette par l’évêque du diocèse. Début des premières activités.

Fin novembre 1991 : Première réconciliation d’un couple ( cf. témoignage).

Juin 1992 : Les sœurs Augustines, devant les fruits du Centre, décident de donner la maison à la corporation sans but lucratif du Centre d’évangélisation Notre-Dame de la Salette.

19 septembre 1993
Fête de Notre-Dame de la Salette, plus de 3OO personnes participent à l'Eucharistie à l'extérieur du Centre par un froid assez intense. Heureusement qu'il y a le soleil. Comme l'an dernier, une procession en l'honneur de la Vierge de la Salette parcourt les rues avoisinantes du Centre (une participation de 175 personnes). Plusieurs proviennent du Lac St-Jean. De nombreux malades reçoivent l'onction des malades.

5 septembre 1994
Belle délicatesse de notre maman du ciel. Le Centre reçoit la visite de Don Gobi en ce lundi de la fête du Travail. Il ne va jamais en région, mais toujours dans les grands centres mariaux du monde. Le dimanche 4 septembre, il est venu en l'Église Notre-Dame de grâce de Chicoutimi proclamer le message de la Vierge Marie pour le monde d'aujourd'hui. Aujourd'hui, 5 septembre, il est venu prier au Centre ainsi que déjeuner avec toute l'équipe. Merci maman Marie pour cette belle visite.

11-19 septembre 1994
Très belle neuvaine où nous avons encore connu cette année une très belle participation à tous les soirs. Comme chaque année, la neuvaine s'est terminée par une procession dans les rues de Chicoutimi. Pour la première fois, la procession eût lieu en soirée, sur semaine, et nous nous sommes rendus à la paroisse St-Joachim où une célébration eucharistique en l'honneur de la Vierge Marie eût lieu. Le curé Antoine Guillemette a accepté de porter la croix lors de la procession aux flambeaux. Il y avait 11O personnes qui ont marché dans les rues pour la Vierge Marie. Plus de l5O étaient présents à la célébration eucharistique. Comme maman Marie doit être contente!

Neuvaine 1995
Quelle belle neuvaine du 11 au 19 septembre! Le Centre est en effervescence. Nous ignorons ce qui se passe. Il y a tellement de mondes et tellement de grâces de réconciliation. Nous avons eu des soirées où il y avait 70 personnes dans notre petite salle qui peut en contenir 40 au maximum. Nous sommes cordés comme des légumes, mais tout le monde ressent l'esprit de famille. Que de témoignages émouvants! J'ai vu plusieurs personnes âgées pleurées de joie à la suite d'une soirée au Centre. C'est là que nous pouvons constater que le Centre répond à un besoin important dans le diocèse. Je pense souvent à cette prophétie du curé d'Ars où il avait dit: "Un jour viendra où les hommes seront si las d'entendre parler de l'homme qu'ils pleureront quand on leur parlera de Dieu.

Procession 1995
Nous sommes le 19 septembre. C'est le grand jour. Quelle belle procession! Plus de 200 personnes ont marché vers l'église St-Joachim. Quand nous sommes arrivés à l'église, les cloches se sont mises à sonner. Plus de 400 personnes étaient présentes à la messe.

19 septembre 1997
C'est la fête de Notre-Dame de la Salette. Il pleut. Allons-nous faire la procession tout de même? Le père Robert Gagné est descendu de Sainte-Anne de la Pocatière afin de célébrer l'Eucharistie. Très belle célébration eucharistique: nous avons une participation de plus de 300 personnes. Malgré la pluie, nous décidons de faire la procession.

Neuvaine 2000
Le père Bob Dingman est venu animer un triduum les 17-18 et 19 septembre. Chaque soir nous étions environ 200 personnes. L'animation s'est faite à l'église St-Paul, étant donné le nombre de participants. Nous avons vraiment senti la présence de Notre-Dame de la Salette à cette occasion. Nous avons pu constater quelques guérisons physiques, dont une religieuse augustines qui faisait de la fibromyalgie depuis plusieurs années. Elle fut guérie le 17 au soir.👉

Notre-Dame de la Salette
pleure à deux reprises


Le jeudi 21 septembre 2000
Le dimanche le 23 mars 2003 à heure

Le Seigneur nous donna une Grande grâce
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Nous nous sommes approchés de la statue et nous avons vu couler de l'huile qui partait de l'œil gauche de la Vierge et qui se répandait tout le long de la statue. Nous avons placé des ouates qui se sont imbibées d'huile. Puis nous avons remarqué que le Christ en croix suintait aussi au niveau des bras. Sur la croix, il y a un marteau d'un côté et des tenailles de l'autre; les tenailles suintaient et non le marteau. Par là, la Vierge nous montre qu'elle a besoin que nous collaborions avec elle à porter la croix de Son Fils.

Notre-Dame de la Salette pleure de nouveau

Dimanche le 23 mars 2003,
Notre-Dame de la Salette pleure pour la seconde fois. Cette fois-ci, elle est remplie d’huile de couleur rougeâtre. Qu’est-ce que cela peut signifier ? (cf. fioretti)

Notre-Dame pleure devant 50 personnes

Mardi le 25 mars,
de petites larmes coulent des yeux de la statue de Notre-Dame de la Salette.

Le crucifix pleure

Mercredi le 26 mars 2003 à 10h30.

Le crucifix est rempli d’huile de couleur rougeâtre avec une odeur de parfum. Plusieurs témoins sont présents dont trois prêtres.

Fin mars 2003

Remise d’un petit vidéo amateur tourné lors des premières lacryminations de la Vierge à l’évêque du lieu et à Mgr.Ouellet de Québec. L’évêque nous invite à garder ce phénomène dans la discrétion.

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 Octobre 2010

Grande rénovation au Centre.
Nous sentons beaucoup la présence de saint Joseph et de la Vierge Marie. Même les ouvriers sont touchés et ils nous l'affirment. Je vous donne un exemple: sur le plan de la grande salle, on avait les prises pour le vidéo afin que nous puissions faire du PowerPoint à un endroit bien précis. L'électricien vient nous voir. Gabrielle et moi avions tout déplacé le matériel du Centre dans la chambre où devait se faire la prise. L'électricien nous dit: "il faut à tout prix que je vienne faire la prise ici aujourd'hui même, il faudrait que vous déplaciez tout ce que vous avez placé ici. Gabrielle et moi, on s'est mis de nouveau à l'oeuvre. On avait une statue de la Vierge que l'on a alors placée dans un coin. L'électricien vient pour faire sa prise. Il vient nous voir à nouveau et nous dit: "Vous savez, je suis très croyant moi aussi. Je viens de vivre quelque chose, je ne sais pas comment vous le dire, mais la statue de la Vierge que vous avez placée dans le coin, c'est comme si qu'elle me disait dans mon coeur qu'elle voudrait la prise là où vous venez de la placer. Qu'est-ce que je fais." On s'est regardé et on lui a dit: "Placez là où la Vierge vous l'a dit, c'est son Centre et non le nôtre." C'est un exemple de ce qui se passe et que de fiorettis on pourrait raconter.

Témoignage du peintre
Le peintre s’appelle Luc. Un matin, il descend à l’appartement. De grosses larmes coulaient sur ses yeux. On lui demanda : « Qu’est-ce qui se passe ? » Il dit : « Le gros crucifix, en haut dans la grande salle, il est couché sur la table ». On lui répond : « Oui, c’est nous qui l’avons placé cela en attendant de le monter sur le mur. » Il ajouta : « Je ne suis pas capable de le regarder, il me fait pleurer. Je pense que c’est un peu à cause de moi qu’il est crucifié ainsi, à cause de tout le mal que j’ai fait dans ma vie ». On lui répondit : « Il ne faut pas vous culpabiliser, Jésus vous aime. » On continua la conversation, Gabrielle et moi, avec lui. Il était en train de vivre une expérience avec le Christ.

Inauguration de la nouvelle salle
Comme prévu, le 25 mars 2010, nous avons inauguré la nouvelle salle. Comme elle est belle ! Quelle belle soirée ! Nous avions la présence des trois évêques, soit Mgr.Rivest, Mgr. Couture et Mgr. Pedneault. En plus, l’abbé Gaétan Thibeault, curé de la cathédrale sans oublier le père Simon Dufour du Centre Ephata et l’abbé Luc Bergeron, un ancien jeune qui œuvrait avec moi à l’école Dominique-Racine. Sœur Angèle Bergeron représentait les sœurs Augustines de Chicoutimi. Il y avait plus de 100 personnes présentes ce soir-là. Jean Béland, diacre, était l’animateur officiel de la soirée. Il m’a présenté et j’ai parlé de la mission du Centre suivi de Mgr. Couture qui exprima sa confiance dans ce Centre dédié à l’Évangélisation. Par la suite, l’abbé Gaétan Thibeault a pris la parole : il a présenté le Centre comme étant un phare pour le diocèse de Chicoutimi. C’est sœur Angèle Bergeron qui clôtura les discours en réaffirmant sa grande confiance en ce Centre. Par la suite, la célébration eucharistique débuta avec mgr. Rivest accompagné des autres évêques et prêtres.

Les célébrations avec l’abbé Marc Girard
Les mardis soirs, toutes les deux semaines, nous avons la chance d’avoir avec nous l’abbé Marc Girard pour confesser pendant que je donne un enseignement. À 20 heures, il débute toujours une belle célébration eucharistique tout en donnant une très belle homélie. L’abbé Marc était un des conseillers du pape Jean Paul II. Son mandat vient maintenant de terminer. Il enseignait la théologie à l’université depuis plusieurs années. Il a été aussi mon professeur en théologie au Grand Séminaire de Chicoutimi. Quelle chance d’avoir un tel homme avec nous régulièrement au Centre. Merci Maman Marie pour ce grand cadeau que tu nous fais.

Début des retraites avec le peuple Atikamech
Nous avons vécu une magnifique session a la fin du mois de mai 2011. Nous étions plus de 45 personnes dont 31 Atikamech.

Année 2010

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Rencontre et mariage avec Gabrielle Lavallée

VISIONNEZ LE REPORTAGE DANS LE MAGAZINE  " LA SEMAINE "

Par: Chantale Potvin
Photo : Louis Jacob

23 mars 2012

Nous avons souligné d’une façon spéciale l’anniversaire de la lacrymation de la Vierge de la Salette. Oui, c’est le 23 mars 2003 que la statue de la Vierge a pleuré. La grande grâce que nous avons eu, c’est que s’en le savoir, un couple amérindien d’Obedjewan est venu nous trouver. Ils ont été vivement impressionnés puis à la fin, en retour, deux autres autochtones d’Obedjewan sont venus à leur tour. Gabrielle et moi avons pris le temps de leur montrer le DVD sur la quelle est imprimé le moment où la Vierge a pleuré, DVD que nous avions présenté pour la première fois à toute une assemblée. Nous avons été priés avec eux à la chapelle par la suite. Les deux autochtones étaient vivement impressionnés et pensent à court thème à organiser un pèlerinage.

Miracle eucharistique (février 2013)
Je crois que l’on peut parler de miracle eucharistique pour moi. Voici les faits : il y a un an, mon médecin a détecté que mon taux de fer (ferrite) dans le sang était plus élevé que la normale. Il a envoyé mon dossier à un spécialiste du sang pour qu'il puisse me rencontrer car la seule manière pour faire disparaître le surplus de fer, ce sont des saignées et si on ne le fait pas, cela peut provoquer des cancers au pancréas, aux intestins et s'attaquer au cœur. En septembre dernier, après une nouvelle prise de sang, il me téléphone pour me dire que mon taux de fer est monté en flèche. Il communique de nouveau avec le spécialiste qui ne m'avait pas encore rencontré afin que l'on puisse débuter les saignées régulières, mais le spécialiste répond qu'il est seul dans la région et que cela peut prendre du temps. Le docteur Hudon me suggère d'aller à Québec, mais je préfère encore attendre. En janvier, il me dit que je n'ai plus de choix, je dois aller voir un spécialiste à Québec, mais avant il veut renvoyer le dossier, mais avec une nouvelle prise de sang pour voir la progression du fer. J'avoue que cela me fatiguait beaucoup.

La semaine dernière, un mardi soir de la Salette, soit mardi le 19 février, l'abbé Paul Côté qui célébrait dit dans son homélie qu'il ne faut pas oublier que dans l'Eucharistie le vin devient le sang du Christ et que désormais le sang du Christ se transmet dans notre propre sang, donc nous sommes tous frères. Dans mon cœur monte alors une prière: "Seigneur, si ton sang se mêle à mon sang, pourquoi tu ne pourrais pas détruire ce fer". Au Centre, on communie toujours au corps et au sang du Christ en trempant l'hostie dans le sang du Christ. C'est moi qui ai communié en premier pour pouvoir ensuite donner aux autres participants le sang du Christ pendant que le prêtre donne le corps du Christ. Je prends l'hostie pour la tremper dans le sang du Christ, mais j'ai fait cela trop rapidement et malheureusement je me suis aperçu que je n'avais pas trempé dans le sang. Pendant que je donnais le sang, une parole intérieure me dit: "Demande au prêtre de communier à la coupe". Mais j'étais trop gêné pour faire cette demande, je sentais que c'était une forme d'orgueil. Je prends alors le ciboire pour aller le porter en bas à la chapelle, mais l'abbé Paul Côté m'arrête (il n'est au courant de rien) et il me dit: "Veux-tu m'aider à boire le reste du vin car il y en reste trop pour moi". J'ai donc communié à la coupe. J'ai raconté par la suite à l'abbé Paul la prière que j'avais faite au Seigneur.

Deux jours après, j'ai senti pendant la nuit une chaleur intérieure comme si je transpirais, mais intérieurement. Je n'ai pas fait attention. J'ai continué à prier puis j'ai été faire ma prise de sang comme le médecin me l'avait demandé. Mardi dernier, soit le 26 février, j'ai reçu un appel de la secrétaire de mon médecin qui m'a dit: "J'ai une très bonne nouvelle, le docteur Hudon fait dire que votre taux de fer est baissé de façon très appréciable". J'ai raconté cela au Centre mardi dernier lors de notre soirée et il y a des infirmières qui viennent au Centre: elles m'ont dit de nouveau que le taux de fer dans le sang ne peut pas diminuer sans des saignées, c'est impossible. Je remercie donc le Seigneur pour cette grâce eucharistique que je peux partager. Je comprends maintenant pourquoi j’ai toujours eu l’intuition profonde depuis plus de 40 ans qu’il y aurait des miracles, des guérisons spectaculaires si après la communion, on prierait spécialement pour les malades. Bien entendu, il faut expliquer aux personnes ce que l’abbé Paul Côté a exprimé, c’est-à-dire de prendre conscience réellement que le corps du Christ descend en nous et se mêle à notre propre corps et la même chose se produit pour le sang du Christ. C’est très théologique, mais on ne s’en rend pas assez compte.

Novembre 2013

Conversion d’un athée
Quel beau témoignage de M. André Marie Laforest, domicilié au 1177 Angoulême à Chicoutimi. Il avait vu la publicité et par curiosité, il est venu vivre le triduum où il a obtenu une très grande grâce, la foi. Il en a témoigné lui-même devant toutes les personnes présentes une semaine après le triduum. L’abbé Marc Girard m’a dit qu’il l’avait eu comme étudiant lors d’un cours et qu’il vivait un athéisme profond. Il est devenu un homme de prière et depuis ce temps, il ne manque plus aucune activité au Centre. Il dit maintenant réciter son chapelet tous les jours. 

Faites connaître Notre-Dame de la Salette à travers votre foi!

«Je me tiens à la porte et je frappe. Si quelqu'un entend ma voix et ouvre la porte, J'entrerai. »
Comment répondras-tu à l'invitation de Dieu ?

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